Guts
Clown triste
Ouais

Quand une histoire se termine on est rarement très objectif
Alors ce que je raconte là c’est seulement mon point de vue(un)
Et je sais bien que t’aurais autant à en dire
P’être même pire
Si t’as pas déjà retrouvé l’envie d’en rire
Mais comme c’est tous ce que je peux en écrire
Pardonne-moi si je compte que
L’histoire de celles qui passent mais ne restent pas

Les femmes m’intriguent
Quand elles te disent qu’elles t’aiment, elles ne t’aiment pas
Et quand elles t’aiment, elles ne le disent pas
Les femmes me fatiguent
Si tu leur racontent ce qu’il te pèse sur le cœur
Elles n’écoutent pas
Regardent ailleurs au lieu de te tendre les bras
Mais si tu gardes le silence tu trahis la confiance que toujours tu leur dois
Les femmes m’épuisent
Elles ne font des efforts que lorsqu’elles t’ont perdu
Comme un jouet qu’on ignore aussi longtemps qu’on peut marcher dessus
Les femmes me détruisent
Elles s’emblent un peu surprise qu’on soit penné de les savoir dans d’autres lits
Te fait porter le poids de les avoir à tout jamais brisées
Alors qu’elles se lavaient de toi au milieu de leur cries
Les femmes m’anéantissent
Elles tissent un fil de tristesse autour de moi et
Elles serrent du bout de leur doigts délicats
Putain que faut-il faire pour être leur bonheur et leur rire aux éclats
Tu voulais ta chanson tu l'as
Vas y chante la pour moi
Dis-lui que mon coeur est de pierre et oublie-moi au milieu des soupire qui l’arrachera de toi
Range nous au fond des foutus souvenirs qui se cachent pour mourir dès lors qu’ils ont capté qu’ils ne créent plus émoi
Les femmes me salissent, quand t’es nu dans ses bras
Qu’a tort ou a raison tu pleures , que ca ne compte pas
Dans un sens ou dans l’autre, c’est mon cœur qui se broit
Mon amour qui se noit
Mon erreur qui se voit
J’ai l’impression pesante que tu ne me pardonnerai pas les 3 mots que j’ai dit
Que tu savais déjà
Comment pouvez tu me sourire encore
Quel imbécile a dit que le silence est d’or
En l’occurrence ton silence est ma mort
Ma t’on jamais autant mentit que dans cet air sinistre
Qui me livrait à toi comme la toile à l’artiste
Le rêveur aux étoiles
Comme le clown a la piste
Je me suis foutu à poil pour toi
Ce soir je suis un clown triste

Et je sais bien que t’aurais autant à en dire
P’être même pire
Si t’as pas déjà retrouvé l’envie d’en rire
Mais comme c’est tous ce que je peux en écrire
Pardonne-moi si je compte que
L’histoire de celles qui passent mais ne restent pas

Les femmes me séduisent
Et tu vas me manquer
Dans ma tête la ville est moins grise dans ton quartier
J’ai gardé tes regards et nos rencards dans des milliers de bar
Et des nuits délavées
A errer dans les rues comme deux poissons dans la même marre
T’rappelle cet histoire
Je suis sûr qu’ils ne se sont pas noyés
Les femmes me méprisent
Parce que j’ai pas su protéger la fragilité indécise que tu cachais sous ta dureté
Parce que j’ai cherché dans les cries ce qu’un autre a dû trouver dans l’amitié
Les potes m’ont dits : putain elle est partie c’est comme ça c’est la vie
C’est vrai que p’être au fond on en avait pas vraiment envie
Et pourtant la réalité m’agresse
Comme si blanche neige était revenue dans la forêt pour se taper les 7 nains
J’ai cherché tous les mots qui blessent
Je voulais même plus qu’on me fasse du bien
A présent puisse qu’il faut que je te laisse
Je te dis merci
Même si on a manqué l’adresse, on aura pas connu l’ennuie
Je me dit qu’un jour on se rappellera que des caresses
Et puis plus rien
Et puis tant pis
Et je sais bien que t’aurais autant à en dire
P’être même pire
Si t’as pas déjà retrouvé l’envie d’en rire
Mais comme c’est tous ce que je peux en écrire
Pardonne-moi si je compte que
L’histoire de celles qui passent mais ne restent pas