Quoi ? Yeah
Yeah, wow, hey
C'est L.U.V
C'est L.U.V, j'balance des flammes à chaque ligne
La mort qui marche avec le flow à Chaplin
La vieille qui dort dans une gare à Châtelet
Réveillé par ceux qui tirent, pas ceux font du grappling
J'me réveille, y'a des grandes morts comme les Incas
Ils foutent le feu chez les miens, ça sera pas nous les vaincus
Quoi?
Ce sera pas nous les... (wow)
On est violent, le sac est violet
Le soir comme Anakin quand j'ai la rage n*gro c'est violent
Ils m' connaissent pas, savent même pas c'qu'ils craignent
On vide le bistrot, pendant qu'j'les distrais
La balle est placée, plein milieu du torse
Le métal pourrait t'forcer à rabaisser tes dorsaux
C'est toi en tort, souvent elle qui colle les morceaux
C'est pas du mahr, c'est le rap que j'viens d'invoquer
Les humains s'mettent mal, la plupart du temps s'aiment pas
J'suis l'dernier senpai, j'ai la maîtrise du tempo
Et quand j'm'engage sur cette voie, le ciel j'essaye d'voir, quand j'me concentre j'ai la force du mal en 7 fois
Nieront leur destin, bat les couilles tant qu'ils festoient
S'arrosent le gosier, criant qu'l'alcool ça nettoie
Et là j'suis beau, voilà qu'elle aime
J'avais du flow dans l'ADN, j'voulais des go dans la BM
J'descends du rêve, y'avait tes bras, j'me sentais autre part
J'm'endors en guerre, mon corps se réveille dans un cauchemar, quoi
J'baise tout a chaque ligne, la mort qui marche avec le flow a Chaplin
La vieille qui dort dans une gare à Châtelet
Réveillé par ceux qui tirent, pas ceux font du grappling
Et j'me réveille, ils foutent le feu chez les miens, et ce sera pas nous les vaincus
Comment dormir ?
Zéro dans les poches, comme ça personne peut s'en sortir
La pièce est fermée, c'est Judas qu'a la clé
J'entends le glas, ensanglantés sont les clous
Cheveux au vent, navigue sur les 7 mers
Le gamin sait qu'j'sais démarré cette merde
Les hommes désespèrent a sauver l'espèce
J'écris ça pendant qu'ta belle-mère regarde les experts
On arrache les troncs, le karma bé-tom
Sur nos têtes, c'est l'grand dégel c'est l'Armageddon
Ton dernier repas ça ressemble à un étron
Le chemin de l'enfer ça ressemble à un métro
Et le soir, c'est ça qu'elle aime, une clope sur le bitume bercé par l'bruit des HLM
La drogue en importation, si l'malheur pouvait s'porter j'crois que mon dos serait chargé comme un porte-avion
Des incantations, des pleurs juste après c'est l'drame
Et comme Icare mes ailes crament (quoi?!)
Il dit qu'ça paiera de Paname jusqu'à Belgrade et l'or, l'or est diamanté crois pas qu'on cèdera
A force de faire des exo, conditionné a bosser comme un grippe-sou, sans savoir que vous êtes sots
Chez nous ca bosse tard, j'viens d'un autre monde là où Gandhi fabrique les pochtards
Solide comme deux forts, n*gro j'vais t'refaire t'as 4 sabres mais pas d'bol j'viens d'la ce-for
J'raconte la vie, les histoires et la planète
A c't' heure-ci j'écris avec du lean dans ma canette
C'est L.U.V, baise tout a chaque ligne
La mort qui marche avec le flow a Chaplin
La vieille qui dort dans une gare à Châtelet
Réveillé par ceux qui tirent, pas ceux font du grappling
Et j'me réveille, y'a des grandes morts comme les Incas
Ils foutent le feu chez les miens ce sera pas nous les vaincus, quoi, wow
C'est nous les singes, les intrus, les salopards, les incultes
J'suis à deux doigts, maman pardon si parfois j'm'éloigne de toi
J'entends deux voix, y'a celle du mal et celle du bien, y'a celle de l'homme et celle du chien
Des fois l'amour je ressens, j'avance à pied sous les nuages gris, ici chaque jour se ressemble
J'enlève mes chaussures de là, fort
J'ai changé d'posture, j'opère du coté obscur de la force
Plus d'amour car y'a plus d'hommes
Et leurs couplets n'ont plus d'âme, j'ai trop le mort j'écris un tome
J'ai croisé cette fille, elle avait mal au cœur, j'avais du mal a voir du coup j'ai du prendre d'la hauteur
C'est tous des salopards, c'est c'qu'elles disent
Sale pute t'as changé d'arobase pour mettre des ves-qui
Y'a pas de magie tout c'que j'fais ces faire des textes d'art, j'aime leur nectar, leur cuisses et toutes leurs textures
J'sais plus c'qu'on espère, j'ai perdu l'espoir
J'veux pas qu'tu t'laisses faire, la vie ressemble a Bes-bar
Et puis j'les laisse croire que j'suis nul, quand j'écris j'suis sur une île et pour eux ça sera l'anal
Et quand ils parlent crois pas qu'c'est sincère
Avant qu'ils m'baisent avec la censure, j'vais péter tout l'ascenseur
J'écoute les textes de mes camarades, ils vendent du rêve, font des liasses avec la merde dans leurs paragraphes
La vie c'est dur mais, y'a rien d'plus sûr pour la pureté
J'ai peur car faut mettre son cash en sûreté
C'est R.E.S. Val, écoute bien
Quand mes paroles deviennent sensées, j'suis prophète par la pensée
J'traine, avec des vrais OG, enfermés comme a Fleury-Mérogis
Sur le sol tes frérots gisent, sur le sol tes frérots gisent
Yeah, quoi, hey
C'est L.U.V
La mort qui marche avec le flow a Chaplin, quoi
Réveillé par ceux qui tirent pas ceux qui font du grappling
Comme les incas, ce sera pas nous les vaincus, quoi
C'est nous les singes, les intrus, les salopards, les incultes
Yeah, yeah