Olivia Ruiz
Le Peu Que L’On A
Je n'ai rien vu venir, tu n'étais qu'un soupir
Salvateur quand mon souffle se coupait
Je n'ai rien vu venir dans tes mots choisis
Qui me caressaient, sous ma peau s'immisçaient
Je n'ai pas su me tenir près de la vérité
Pas su me retenir lorsque je basculais
Mesure ton flot et préserve-moi
De toi, de ta danse fragile sur un fil
Ne me mens pas
Tu es si décevant quand tu te défiles
Ne te méfie pas, c'est l'unique privilège de cet amour là
Pour tous les riens que l'on se doit
Prends soin du peu que l'on a
Du peu que l'on a
Ta peau embaume le parfum de ma liberté
Tes mots, vertige, ouvrent le monde sous mes pieds
Je n'ai cessé d'accourir quand tu le demandais
Toi tu as préféré fuir dès que tu me saisissais
Je n'ai rien vu venir tu n'étais qu'un soupir
Salvateur quand mon souffle se coupait
Mesure ton flot et préserve-moi
De toi, de ta danse fragile sur un fil
Ne me mens pas
Tu es si décevant quand tu te défiles
Ne te méfie pas, c'est l'unique privilège de cet amour là
Pour tous les riens que l'on se doit
Prends soin du peu que l'on a
Du peu que l'on a
Du peu que l'on a
Du peu que l'on a